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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 08:40
© S. Fenoulière

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Gunilla quitte le port quelques minutes avant Oriana.

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Tous les stagiaires sont sur le pont et saluent et les promeneurs et les passagers d'Oriana. Les deux bateaux se saluent à coups de sirène.

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Gunilla s'éloigne. Un trois-mâts carré non identifié est en zone militaire au Homet.

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Quelques minutes après Gunilla, Oriana, de la P&O, quittait la rade.

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Oriana vire.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 12:40
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Gunilla, à quai, avec le Kapitan Brochardt, trois-mârs goélette de 96 ans, passé sous pavillon polonais.

 

Tous les ans, des élèves de l'île de Öckerö viennent passer quelques jours à Cherbourg, à bord de Gunilla, leur trois-mâts barque, lycée maritime flottant. Les stagiaires, en majorité des jeunes filles, se montrent aussi aguerris que des marins professionnels.

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Un sens de l'équilibre remarquable. Noter le sac tenu en bandoulière par l'une des stagiaires.

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Retour sur le pont.

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Ce qu'il y a dans le sac : une sangle et une manille, d'une certaine dimension. Il faut éviter de laisser tomber un tel objet de la mâture car il devient un projectile dangereux. Il est clair que ces "marins" ne sont pas traumatisés par le fait de passer un certain temps dans la mâture, à une hauteur respectable.

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Même sur les vergues, on prend le temps de saluer le photographe.

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Autre salut amical.

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Sur les enfléchures.

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Gunilla est, maintenant, équipé d'une manche à air, très pratique pour orienter les voiles.

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A cheval sur la vergue de misaine, pour son entretien.

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Assis sur le marchepied, dans une position assez peu confortable.

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La proue, avec sa figure.

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 13:18
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Deux façons de naviguer.

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Eye of the wind attend l'ouverture du pont tournant.

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Eye of the wind devant la marina.

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Eye of the wind vient de franchir l'écluse.

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La figure de proue.

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 12:51
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Deux célèbres bâtiments de construction française presque l'un à côté de l'autre.

Le départ est annoncé pour 18 heures.  Ce départ sera presque aussi digne que l'arrivée en 2004. Dès 16h30, la foule commence à se masser au bout du quai. Elle sera moins nombreuse que lors de la première escale mais restera importante. De nombreux bateaux se massent dans la partie ouest de la petite rade, sous l'œil vigilant de la gendarmerie maritime, afin de ne pas gêner les manœuvres.

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La gendarmerie veille avec deux pneumatiques et sa vedette rapide Heaume. La vedette rouge, sur la photo, est la Divette, bateau pompe des marins pompiers.

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Vers 17h45, le remorqueur Saire et Divette, de la base navale, viennent prendre position devant la sortie de la darse, Saire à bâbord et Divette à tribord.

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L'Abeille rentre de mission. Contrairement à 2004, elle n'accompagnera pas le Queen.

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Deux pilotines se présentent, car les deux ferries irlandais quittent le port avant le Queen. Au premier plan, la nouvelle pilotine, CH4.

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La pilotine, deux photgraphes et d'autres bateaux.

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Barfleur quitte son port d'attache sans pilote.

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A un peu plus de dix huit-heures, Queen Mary s'éloigne.

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Précédé de Saire et de Divette, le Queen Mary s'approche du Homet.

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3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 09:19
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Le QM 2 au dessus de la digue du Homet.

 

Deux escales sont programmées, l'une le dimanche 7 septembre, l'autre le 7 octobre.Bien qu'il soit britannique, ce paquebot est cher au cœur des Français car, construit, lui aussi à Saint Nazaire, il est le digne successeur du Normandie et du France. Ce paquebot n'obtiendra pas le ruban bleu parce que la compétition s'est éteinte avec l'arrêt des traversées du France.

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Ce bateau, beaucoup moins massif que les paquebots de croisières, a gardé quelque chose de l'élégance des transatlantiques taillés pour traverser l'océan le plus vite possible.

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QM II de face.

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Malgré sa masse impressionnante, QM 2 accoste seul, grâce à ses pods.

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La forme élancée de l'étrave n'est sans doute pas étrangère à l'aspect élégant de la coque.

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La poupe constitue la différence la plus grande avec celle, ronde, de ses prédécesseurs.

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27 août 2014 3 27 /08 /août /2014 11:45
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La troisième corvette lance-missiles commandée par la marine du Sultanat d'Oman à BAE systèmes fait escale au quai de France.

 Elle est la dernière d'une série de trois, qui ont toutes fait une escale au quai des Mielles avant de venir au quai de France. Elle fera probablement escale à Toulon, avant de rejoindre sa base au Sultanat d'Oman.

 

Les marins omanais connaissent Cherbourg, car nous y avons accueilli plusieurs fois l'ancien Shabab Oman, en particulier en juillet 2010 où toutes les voiles ont été changées. De plus, les CMN ont construit quelques intercepteurs rapides.

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Nous ne verrons plus ce bateau qui est remplacé, ces temps-ci, par un plus gros, (à voir quelques pages plus loin).

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enfilage du bout dans un oeil, sur la corne du grand-mât.

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misaine, voile carrée, et grand voile, à corne, en place.

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Mise en place des voiles carrées hautes et d'une voile d'étai.

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Hisser la grand-voile.

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Pommes de racage.

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Serrer le perroquet et le petit hunier.

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Mise en place d'un foc.

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Mise en place d'une voile d'étai.

Corvette omanaise Al Rasikh au quai de France

Hissage de la voile d'étai.

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Escalade des enfléchures pour gréer la misaine.

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Aller hisser les focs.

 

 

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Capeler le foc sur l'étai.

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Capelage des écoutes.

 

 

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Hissez un peu !

 

 

 

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21 août 2014 4 21 /08 /août /2014 16:17

Le Redoutable, premier sous-marin français nucléaire lanceur d'engins (SNLE), reste un fort centre d'attraction à la Cité de la mer. Lancé en 1967 par le Général de Gaulle, qui avait appuyé sur un bouton (qui ne servait à rien), le Redoutable rejoignit la flotte en 1971 et fit sa première patrouille en janvier 1972.

Il fut suivi de cinq autres SNLE, dont plusieurs sont en cours de démantèlement et de déconstruction.

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Trois SNLE, dont le réacteur a été enlevé et mis à refroidir dans un bâtiment spécialement conçu, en attente de déconstruction dans un bassin de l'arsenal. Notons que cette appellation, séculaire, est officiellement remplacée par "base navale".

 

Il semble que le principe de la propulsion nucléaire ne soit pas très clair dans l'esprit de certains visiteurs. En fait, le réacteur est une chaudière, qui dégage des radiations très confinées et de la chaleur. Cette chaudière transforme le liquide de refroidissement en vapeur. L'énergie du réacteur doit être transformée en une autre énergie car l'énergie nucléaire n'est pas directement utilisable.

Les sous-marins de nouvelle génération, SNG, beaucoup plus gros, avec 7 500 tonnes en surface pour le Redoutable et 12 640 pour le Triomphant, possèdent deux groupes de turbines à vapeur et turbo-alternateurs, deux diesel générateurs et un moteur électrique, l'ensemble étant particulièrement discret du point de vue acoustique. Le Redoutable avait deux groupes de turbines à vapeur, deux turbo-alternateurs et un moteur électrique de propulsion. (1899 Morse 1994 le Triomphant, Les sous-marins de DCN Cherbourg, DGA, DCN Cherbourg, réédition 1995).La détection acoustique ayant fait rapidement d'énormes progrès, il a fallu faire la chasse à tous les bruits, afin de rendre le bateau indétectable.

 

Les sous-marins classiques doivent renouveler leur provision de combustible relativement rapidement. L'uranium permet de rester plusieurs années en mer, seule la résistance de l'équipage oblige à rejoindre la base après plus de deux mois dans les profondeurs de l'océan.

Premier sous-marin Redoutable

Premier sous-marin Redoutable

Le premier sous-marin Redoutable. éMergences, N° 1, Juillet 1990, (Collection personnelle).

éMergences N°48, juin 1998 (Journal des personnels de DCN Cherbourg). Collection personnelle.

éMergences N°48, juin 1998 (Journal des personnels de DCN Cherbourg). Collection personnelle.

 

Notons que le Redoutable fut le dernier sous-marin français pour lequel on construisit une maquette en bois. La conception par ordinateur rendait cette coûteuse nécessité inutile, les logiciels permettant de placer les équipements de la façon la plus pratique. Deux autres modifications furent adoptées pour le Triomphant, la préfabrication des tronçons, dans les immenses nefs que l'on voit à l'ouest du port de plaisance et la fin des lancements sur plan incliné. Dorénavent, les sous-marins marchent pour rejoindre la barge qui les positionne dans la forme, spécialement construite pour eux.

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Désormais, le Redoutable est visitable dans sa cale sèche à la Cité de la Mer.

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Le Redoutable n'a pas été refondu pour transporter les missiles M4. On voit l'emplacement des silos. On note aussi, en comparant cette photo avec la première de cet article, que les ailerons sont plus bas sur le kiosque, par rapport à ceux de ses successeurs.

© S. Fenoulière

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Lors du lancement du bateau, l'hélice est dissimulée, car elle tombe sous le secret militaire. Les nouvelles sont à l'intérieur d'une tuyère.

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Autre vue de l'hélice et de la poupe.

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La proue des SNG, sous-marins de nouvelle génération, est en matériau composite et non plus en acier, comme celle-ci.

Le Redoutable en construction, photo DCAN.

Le Redoutable en construction, photo DCAN.

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Repeindre cette coque n'est pas de tout repos.

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Regagnant Cherbourg en surface pour son démantèlement, l'Inflexible arrive à la tombée de la nuit, après avoir essuyé une tempête.

DGA  DCN Cherbourg

DGA DCN Cherbourg

Un glorieux ancêtre :  le Surcouf lors de ses essais en 1931.

1899 Morse 1994 Le Triomphant, Les sous-marins de DCN Cherbourg, DGA DCN Cherbourg, réédition 1995. (Collection personnelle).

 

Le Surcouf fut le plus gros sous-marin diesel du monde. De plus, il embarquait un hydravion.

DGA  DCN Cherbourg

DGA DCN Cherbourg

L'hydravion, hors de son hangar.

1899 Morse 1994 Le Triomphant, Les sous-marins de DCN Cherbourg, DGA DCN Cherbourg, réédition 1995. (Collection personnelle).

DGA  DCN Cherbourg

DGA DCN Cherbourg

Silhouette.

1899 Morse 1994 Le Triomphant, Les sous-marins de DCN Cherbourg, DGA DCN Cherbourg, réédition 1995. (Collection personnelle).

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Une rencontre étrange, dans un lieu inattendu : le Surcouf en plongée, dans ... le lac de Créteil.

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Le Surcouf, avant sa plongée. Le pont de la maquette est peint d'une couleur très voyante, afin de pouvoir la suivre en plongée et de la retrouver plus facilement en cas d'avarie. Il est, historiquement, assez curieux de le voir plonger avec un sous-marin russe ou chinois.

© S. Fenoulière

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Surcouf en plongée avec un sous-marin chinois.

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Partie avant d'un sous-marin de type Scorpène, avant son embarquement pour un chantier espagnol qui montera la partie arrière.

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Eléments de la maquette du Redoutable à l'échelle 1. Cette maquette était en bois et fibre de verre. Le dessin en 3 D a permis de supprimer cette coûteuse nécessité.

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Autre élément de la maquette.

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Sous-marin proposé par l'ingénieur Forest, en 1900. (Collection personnelle).

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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 18:32

Deux époques se croisent dans la darse.

 

 

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Le yacht de l'Emir de Dubaï, Dubawi, entre dans la darse.

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Il y rejoint le Marité. Noter les deux passerelles, qui vont être démolies, faisant ainsi disparaître, après les grues Applevage, une part de l'histoire de la gare maritime.

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Marité sort, pour une promenade en mer.

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Retour sous voiles, très loin.

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Marité rentre dans la darse.

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Accostage.

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Pendant ce temps, Dubawi est bichonné. Même l'intérieur des écubiers a droit à un nettoyage en règle, pour accueillir ses propriétaires.

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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 16:12
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Les deux anciens propriétaires suédois retrouvent "leur" bateau à Cherbourg. Ils sont ici avec le Commandant Alluin.

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Reprendre la barre quelques instants réveille un certain nombre de souvenirs.

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A la proue.

 

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Même les ancres sont sources de souvenirs.

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Il ne manque que les voiles carrées, les focs et le flèche.

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3 août 2014 7 03 /08 /août /2014 17:33

Généralement, Stavros S Niarchos, qui est un habitué du port, part au moteur. Ayant embarqué un peu plus d'une quarantaine de jeunes, de 16 à 25 ans, et le vent étant favorable, le Commandant a choisi de quitter le quai de France à la voile. Seuls, l'équipage et les stagiaires sont autorisés à copier cet article, s'ils le désirent.
Reproducing this article without any other permission is limited to the crew and the trainees.

Another article can be seen page 3.

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Départ habituel.

 

© S. Fenoulière (except for the crew and the trainees, who are allowed to reproduce it, if they want to.)

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La misaine n'est pas entièrement déployée.

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Stavros S Niarchos, escorté de la nouvelle pilotine, va récupérer son pneumatique et les trois lamaneurs, (deux jeunes filles et un jeune homme).

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Avant le départ, il faut escalader la mâture, pour dérabanter les voiles, afin qu'elles se déploient.

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On prépare les focs, sur le beaupré.

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Rester un certain temps sur les marche-pieds est épuisant. Une main pour soi et une main pour le bateau.

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Dénouer les rabans du perroquet.

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Sur le mât de misaine.

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La photo élimine la profondeur. Mais travailler à une telle hauteur est particulièrement impressionnant.

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